Guerre des IA : qui sont les 4 concurrents de ChatGPT ?

Après le succès fulgurant de ChatGPT, propulsé par OpenAI et Microsoft, les autres géants de la tech n’ont pas tardé à réagir.

Déjà, lundi, Google nous tisait sa future IA Google Bard. Mercredi, Baidu et NetEase lui ont emboîté le pas en annonçant leurs IA respectives. Et enfin, jeudi, Alibaba à la CNBC son IA générative maison.

Manifestement, la guerre des IA est lancée, et elle n’est pas près de s’arrêter. Le point sur les (futurs) concurrents de ChatGPT.

1- Google Bard

Google et l’intelligence artificielle, c’est une histoire d’amour de longue date.

Déjà, en 2015, Google rendait public TensorFlow, son outil d’apprentissage automatique. Lors de sa conférence Google I/O de 2021, la firme nous avait proposé LaMDA, son modèle d’IA générative.

 

 

Déjà, nous nous voyions discuter de manière conversationnelle avec notre téléphone, lui poser des questions complexes, avoir des réponses pertinentes générées automatiquement (ça ne vous rappelle rien ?).

Seulement, l’effervescence est vite retombée, Alphabet (la maison mère de Google) préférant une approche plus prudente. Du moins jusqu’à l’arrivée de ChatGPT.

Sentant ses parts de marché et son modèle économique basé sur les publicités menacés, Google a réagi en activant le code rouge en janvier. Pour la firme de Mountain view, l’IA générative est désormais la priorité numéro 1.

Et c’est ainsi que ce lundi 06 février, Google a officialisé (un peu trop tôt ?) son IA : Google Bard.

Vidéo de promotion de Google Bard diffusée sur le blog officiel de Google

Seulement, tout ne s’est pas passé comme prévu…

Google Bard, ou la démo ratée de Google à 100 milliards de dollars

Avant de mentionner le désastre qu’a été la présentation de Google Bard, remettons les choses dans le contexte. En effet, quelques heures plus tôt, Microsoft à surpris les passionnés du web en annonçant intégré une nouvelle version de ChatGPT directement dans Edge et Bing.

Un vrai désastre pour Google dont le principal argument anti-chatGPT était jusque-là que l’IA d’OpenAI ne disposait pas de données récentes.

Par exemple, aux yeux – ou plus exactement, pour les réseaux de neurones – de ChatGPT, Jack Dorsey est encore président de Twitter.

Mais avec ce changement, Google a été obligé de montrer dans la précipitation que lui aussi maîtrisait l’IA. Quitte à négliger l’importance des tests utilisateurs.

Ce qui nous ramène à la Google Keynote tenue à Paris mercredi 08 février 2023.

Les journalistes, investisseurs, experts de la tech et autres passionnés n’attendaient qu’une seule chose : voir Google Bard en direct…

Et ce fut un flop total.

Non seulement, l’essentiel de la communication de Google tournait autour des améliorations de ses produits existants – Search, Map et translate-, mais l’IA s’est montrée décevante.

À la question « Quelles sont les nouvelles découvertes du télescope spatial James Webb dont je peux parler à mon enfant de 9 ans ? », l’IA a répondu : « [Le téléscope] a pris les toutes premières images d’une planète en dehors de notre propre système solaire ».

 

Ce qui est faux. Cet honneur revenant au VLT Yepun en 2004 comme le confirme la Nasa.

Sans surprise, cette erreur monumentale a été répercutée sur le prix de l’action en bourse de Google. Elle a perdu 9% de sa valeur, soit une perte nette de 100 milliards de dollars de capitalisation boursière.

L’erreur de Google Bard, monumentale, mais pas complètement à côté de la plaque

Toutefois, l’IA n’a pas totalement tort. En effet, en septembre 2022, le télescope James Webb à découvert une exoplanète située hors de notre système solaire.

Une première pour l’humanité. Une source de confusion pour l’IA.

Afin de nuancer davantage, rappelons que selon ChatGPT, James Webb est encore en construction, ce qui n’est guère mieux.

Les deux ont tout faux.

2- Ernie de Baidu

Robot IA devant le logo de Baidu, le moteur de recherche Chinois

Du côté de l’empire du milieu, la guerre des IA bat aussi son plein.

Hors de question pour les géants chinois de la tech de se laisser dépasser par leurs homologues américains.

C’est ainsi que mercredi, Baidu a annoncé le lancement de son IA en préparation depuis 2013 : ERNIE pour Enhanced Representation through Knowledge Integration.

Contrairement à Google, cette IA sera d’abord mise à disposition des utilisateurs en tant qu’agent conversationnel. Ce ne sera qu’après avoir été éprouvée qu’elle sera insérée dans le moteur de recherche Baidu.

À l’annonce de la nouvelle, le cours de l’action de la firme chinoise a grimpé de 13 %.

3- la mystérieuse IA d’Alibaba

Toujours du côté de l’empire du milieu, un autre géant de la tech a fait grand bruit : Alibaba.

Le géant de l’e-commerce a en effet annoncé travailler sur sa future IA. Seulement, même si Alibaba affirme travailler dessus depuis 5 ans, le manque de détails fournis pousse à s’interroger sur les capacités de sa future IA.

La seule information confirmée étant qu’elle est actuellement testée par des employés en interne.

Quand sortira-t-elle ? Que pourrez-vous faire avec ? Difficile de le savoir.

 4- NetEase et son intelligence artificielle éducative

Robot IA assis sur un banc lisant un livre éducatif

Autre dragon de la tech chinois, NetEase est un spécialiste du jeu vidéo.

Mais ce ne sont pas ses jeux qui nous intéressent aujourd’hui, mais plutôt sa filiale dédiée à l’éducation : Youdao.

Jeudi, elle a surpris le monde en annonçant une IA générative entièrement dédiée à l’éducation. Une première mondiale.

En guise de rappel, NetEase-Youdao n’est pas à ses débuts en matière d’IA. Par exemple, elle fournit déjà des services de traduction automatique ou de questions-réponses à plus d’un milliard d’utilisateurs.

Tout comme Alibaba, la firme s’est montrée discrète dans sa communication. Ainsi, aucune information sur sa date de sortie ou ses fonctionnalités n’a fuitée

Pourquoi les mastodontes de la tech se ruent sur les IA génératives ?

En parcourant le web cette semaine, peut-être avez-vous remarqué que le terme « IA » revient beaucoup plus qu’à l’accoutumée.

Mais est-ce seulement une tendance ? Pas du tout.

L’IA était déjà perçue comme un moteur du web 3.0, mais avait été effacée par le métavers, la blockchain et les NFT.

Preuve en est que même Facebook qui avait adopté un virage serré vers les mondes du métavers remet le cap sur le développement de son IA. Une annonce qui a surpris tant l’échec cuisant de son IA conversationnelle, BlenderBot3, a marqué plus d’un.

Même Apple, qui peut toujours compter sur les revenus colossaux générés par l’IPhone, se lance à corps perdu dans le développement de son IA. D’ailleurs, elle a annoncé qu’elle va tenir une conférence entièrement dédiée à l’IA la semaine prochaine à l’Apple Park de Cupertino.

Finalement, l’intelligence artificielle deviendra un outil indispensable pour les entreprises. Un outil capable de booster leurs compétitivités.

 

Shopify : 3 façons de créer votre site e-commerce

Page accueil Shopify

Après avoir longtemps hésité entre créer votre site d’e-commerce via une solution sur-mesure ou via un CMS, vous avez opté pour un CMS.

Et pas n’importe lequel : Shopify.

Ce CMS Canadien séduit d’innombrables professionnels de la vente en ligne et du dropshipping. Et pour cause, il est simple à prendre en main et vous permet de créer votre boutique en ligne facilement.

Mais comment allez-vous créer votre site d’e-commerce ? Sachez que vous avez 3 options différentes pour y arriver.

Découvrez-les tout de suite.

1 – Personnaliser un thème existant

Wireframe d'une page web

Impossible de parler d’une solution CMS sans parler des templates qui vous permettent d’avoir un site clé-en-main.

Et cela tombe bien, car Shopify est réputé pour la beauté de ses thèmes – vos ventes, et donc leurs ventes, en dépendent.

En optant pour cette approche, vous aurez le choix entre une pléthore de thèmes allant du gratuit au payant. Vous devrez alors être capable de trouver le meilleur template Shopify, ou du moins celui qui correspond le plus à vos besoins.

5 questions pour dénicher le thème Shopify idéal

Souhaitez-vous trouver le meilleur thème Shopify ? Voici 5 questions qui vous permettront de mettre la main sur la perle rare :

  • Quelle expérience utilisateur voulez-vous faire vivre à vos visiteurs ?
  • Quelles fonctionnalités souhaitez-vous implémenter ?
  • Quel sera votre positionnement marketing ?
  • Quelles sont vos attentes en termes d’affichage de vos produits ?
  • Quelles seront vos stratégies pour améliorer votre référencement naturel (blog, réseaux sociaux, plateformes de partages, newsletter, emails, etc.) ? Votre référencement payant SEA (Google AdWords, Facebook Ads, publicités Instagram, publications sponsorisées …) ?

Une fois que vous aurez les réponses à ces questions, armez-vous d’un crayon et d’un papier. Dessinez la maquette de quelques-unes de vos pages phares (la page d’accueil et les fiches produits surtout) pour fixer votre idée.

 

En dessinant ce type de maquette, vous bénéficierez des multiples avantages des wireframes et aurez une boussole qui vous guidera dans votre quête du meilleur thème. Et non celui avec les meilleures couleurs et images.

Pourquoi créer mon site d’e-commerce à partir d’un template sur Shopify ?

Donner vie à votre idée de site d’e-commerce via les thèmes de Shopify vous procure énormément d’avantages. En voici quelques-uns :

  • Vous ferez des économies : en optant pour des interfaces web déjà conçues, vous n’aurez plus à faire appel à l’expertise d’un web designer, ni à celle d’un développeur, ce qui se répercute sur le coût de développement de votre site web ;
  • Vous êtes prêt à vendre immédiatement : créer un site internet nécessite du temps. Grâce à un template, votre site de vente en ligne sera prêt en quelques clics ;
  • Vous bénéficiez de l’expertise d’UX/UI designer : la plupart de vos visiteurs déserteront votre site marchand si celui-ci n’est pas élégant. Et là encore, les templates de Shopify font des merveilles : ils sont tous beaux et conçus pour fournir une navigation fluide.

Attention toutefois : créer votre site internet en vous modifiant un template n’a pas que des avantages. Loin de là.

Les inconvénients de créer votre site d’e-commerce à partir des templates de Shopify

S’il faut résumer ce point en une phrase, c’est celle-ci : vous n’avez pas le contrôle total de votre site. Explications :

  • Vous n’avez pas accès aux codes HTML et CSS de vos pages de paniers ainsi que des pages de check-out ;
  • Vous ne pouvez pas modifier tous les éléments graphiques des templates, ce qui est un véritable handicape lorsque vous voudrez booster vos ventes via l’A/B testing ;
  • Vous êtes dépendant de l’éditeur pour les mises à jour : si une faille de cybersécurité est découverte, vous devrez attendre la réaction du créateur du template. Si certains éditeurs tiers comme ThemeForest et TemplateMonster sont réputés pour leur réactivité, ce n’est pas le cas de tous ;
  • Les prix des templates sont parfois élevés : certains templates de Shopify vous propose de créer des expériences utilisateur uniques, mais à des coûts parfois prohibitifs ;
  • Votre site ressemblera à s’y méprendre à ceux de certains de vos concurrents (ceux qui utilisent le même thème que vous) ;

Autant de raisons qui peuvent vous pousser à vous tourner vers la prochaine solution : créer votre propre thème Shopify.

2 – Développez votre propre thème

Lignes de code pour développement site web

Quitte à utiliser un thème Shopify, autant avoir les pleins pouvoirs sur ce dernier. N’êtes-vous pas d’accord avec nous ?

Si oui, alors vous allez adorer cette option.

Vous vous rapprochez d’un expert shopify ou d’un développeur maîtrisant le langage Liquide – le langage officiel et peu utilisé de Shopify –, et le tour est joué.

À partir de vos explications, votre agence ou votre développeur freelance fera le reste pour vous : elle/il donnera vie à votre idée de template.

Vous n’aurez alors qu’à l’intégrer directement sur le front-office de votre site Shopify pour profiter de la pleine puissance de l’éditeur canadien.

Quels sont les avantages de créer son propre templates Shopify ?

Ils sont au nombre de 4 :

  • Vous possédez les droits complets sur votre template ;
  • Vous pouvez demander à votre prestataire d’effectuer des tests utilisateurs durant le développement, ce qui conduit à une navigation fluide et rendra votre parcours utilisateur unique ;
  • Le design de votre site sera unique, ce qui est un atout de différenciation marketing majeur aux yeux de vos prospects ;
  • Vous gagnerez en flexibilité : avez-vous envie de tester si une légère modification d’une de vos pages de vente va augmenter votre taux de conversion ? De tester deux versions d’une de vos pages web pour améliorer vos ventes ? Aucun souci. Vous n’aurez qu’à modifier les fichiers de codes HTML et CSS, et ce, en toute simplicité.

Mais comme toute chose, cette solution comporte aussi son lot d’inconvénients.

Les 2 inconvénients de développer votre propre template Shopify

Développer votre template maison sur Shopify comporte deux inconvénients majeurs :

  • Un prix parfois élevé : concevoir l’UX/UI de vos pages, optimiser votre parcours client, concevoir et implémenter vos différentes fonctionnalités nécessitent énormément d’efforts. Efforts qui se transforment en des frais de développement parfois élevés ;
  • Des délais : si l’une des raisons pour lesquelles vous avez opté pour un CMS est de pouvoir lancer immédiatement votre site d’e-commerce, vous risquez d’être déçu : créer un template demande du temps. Parfois quelques jours. Quelques semaines. Quelques mois.

Heureusement, vous pouvez éviter ces problèmes en optant pour la solution suivante.

3 – créer un site d’e-commerce headless

Statut sans tête

Imaginez un instant…

Vous avez lancé votre boutique en ligne ou votre site de dropshipping depuis plusieurs mois.

Chaque jour, vous regardez votre console, et chaque jour, vous êtes attristé par votre trafic beaucoup trop bas.

Sans surprise, vu que vous n’avez pas suffisamment de visiteurs, votre CA ne croît pas autant que vous l’espériez.

Si seulement vous aviez un moyen de fidéliser vos prospects et d’acquérir plus de trafic qualifié sur votre site web…

Après une coûteuse séance de coaching auprès d’un expert Shopify, vous avez LA solution : vous lancer dans le marketing de contenu.

Et là, horreur : vous découvrez les très nombreuses limitations dont souffre Shopify en termes de gestion éditoriale.

Nous vous rassurons d’emblée, ce scénario n’est pas imaginaire. C’est le lot d’innombrables propriétaires de sites internet faits sous Shopify.

En termes de référencement naturel SEO, le CMS canadien vous imposera des limites draconiennes : vous ne pourrez pas modifier vos fichiers Sitemap et Robot.txt ; ne pourrez pas analyser vos fichiers logs ; n’aurez pas des fonctions de blogging avancées comme celles de WordPress, etc.

Mais, ne vous inquiétez pas, il existe une solution pour tirer parti des avantages de Shopify sans subir ses limites : créer votre site d’e-commerce en headless.

Un site headless, ou site sans tête, est un site qui dissocie les deux éléments centraux de l’architecture d’un site web :

  • Le back-end : il s’agit des coulisses de votre site web. Vous y trouverez tous vos fichiers, contenus, bases de données et d’innombrables autres éléments. Cette partie de votre site est invisible pour les utilisateurs ;
  • Le front-end : il s’agit de la partie avec laquelle vos visiteurs peuvent interagir. C’est elle qui gère le rendu visuel de vos différentes interfaces web.

Ainsi, vous pourrez continuer à utiliser l’excellent CRM de Shopify sans subir les contraintes du logiciel canadien.

En séparant ces deux éléments, vous gagnez plusieurs avantages.

5 avantages des sites headless pour votre site d’e-commerce

Créer un site headless vous apporte plusieurs avantages :

  • une liberté totale sur la conception de votre UX/UI design ;
  • plus de possibilité pour améliorer votre référencement naturel SEO ;
  • Vous pourrez utiliser l’approche « Best of Breed », qui consiste à utiliser simultanément les meilleurs logiciels pour chaque catégorie via une seule interface, plutôt qu’un seul progiciel généraliste ;
  • des mises à jour moins régulières et concernant uniquement quelques fonctionnalités, extensions ou plugins, et non plus tout votre site ;
  • des temps de chargements réduits grâce à l’usage des technologies les plus récentes sur votre front-end.

Les sites e-commerce en headless sont donc parfaits si vous souhaitez délivrer une expérience utilisateur personnalisée omnicanal.

Leurs deux seuls inconvénients étant la complexité finale de votre site web – vous ou votre agence web allez devoir gérer l’hébergement web de votre site et choisir un hébergeur – et la perte d’accès à la marketplace de Shopify.

Comment créer un site d’e-commerce sous Shopify en headless ?

Pour donner vie à votre boutique en ligne, vous avez deux options :

  • soit devenir un développeur maitrisant le langage Liquid et capable de choisir entre React Native et flutter ;
  • soit faire appel à une agence web.

Chez Poyesis, nous vous accompagnons dans la création de votre site web de A à Z au travers de cérémonies agiles. De la conception jusqu’à la production de votre boutique en ligne, notre (vôtre?) chef de projet se tiendra à vos côtés.

Alors, qu’attendez-vous pour nous parler de votre projet de création de site d’e-commerce ?

Contactez-nous, c’est gratuit et sans engagement.

 

7 conseils pour travailler avec un webdesigner

En quête d’un site web responsive design, vous vous êtes tourné vers un webdesigner.

Mi-graphiste, mi-développeur, vous attendez de ce créa qu’il vous fournisse une maquette pour votre prochain site web. Peut-être, attendez-vous de lui qu’il donne aussi vie à votre application web ou mobile.

Seulement, vous hésitez : comment devez-vous aborder cette collaboration ?

Les histoires de collaboration infructueuses avec des webdesigners freelance et des agences abondent sur le web. Et vous ne souhaitez surtout pas avoir à ajouter une page supplémentaire à ce livre des malheurs.

Rassurez-vous : travailler avec un webdesigner est excessivement simple, en plus d’être bénéfique pour votre image de marque.

Suivez ces 7 conseils et votre collaboration se déroulera sans encombre.

1 – Déterminez l’objectif de votre site avant de vous adresser à un webdesigner

Avant de vous adresser à un webdesigner, vous devez être capable de répondre à une question : quel est l’objectif principal de votre site web ?

Plus vous comprendrez ce que vous voulez, plus votre graphiste web sera capable de créer une maquette qui comblera vos attentes.

Pour être certain que votre web-designer puisse vous créer une identité visuelle sur-mesure, voici quelques informations que vous devez avoir en tête :

  • Quel est l’objectif général de votre (futur) site web ou application mobile (Améliorer l’expérience utilisateur de vos clients ? Acquérir plus de clients ?) ?
  • Quel sera votre positionnement marketing ?
  • Quels sont les supports de communication privilégiés de vos cibles ?
  • Quels sont les outils de communication qu’ils utilisent au quotidien ?
  • Quelle expérience utilisateur voulez-vous faire vivre à vos utilisateurs ?

Ces questions peuvent sembler sans importance, et pourtant.

Observez par exemple les communications web et print de deux marques qui vendent les mêmes produits (des vêtements) : Louis-Vuitton et Zara.

Leurs positionnements marketing étant radicalement opposés (luxe vs populaire), cela se reflète aussi sur leurs sites web : structure, typographie, arborescence, visuels, ergonomie… la différence est flagrante.

Raison pour laquelle vous devez absolument fournir ces informations à votre graphiste web. De la conception jusqu’à la réalisation de votre site d’e-commerce, y compris dans vos actions de webmarketing, ces réponses guideront vos développeurs, marketistes et webdesigners.

2 – Listez toutes les futures fonctionnalités de votre application

Maintenant que vous savez ce que votre application web ou produit digital fera, reste encore la question du comment.

D’emblée, sachez que deux produits qui remplissent exactement la même fonction peuvent le faire via des fonctionnalités différentes. Et c’est valable aussi bien pour les produits physiques que les services numériques.

Sceptique ? Si nous vous disions que Ryanair – une compagnie aérienne – est en concurrence avec Zoom, nous croiriez-vous ?

Et pourtant, c’est bel et bien le cas. Toutes deux répondent exactement au même problème : permettre aux cadres de faire des réunions B2B.

Sans surprise, l’expérience utilisateur proposée par chaque site, leurs bannières, leurs logos et leurs communications visuelles n’ont rien à voir.

Pour être certain de lister toutes les fonctionnalités de votre future application, voici quelques astuces :

  • analysez les sites de vos concurrents directs : si tous vos concurrents proposent les mêmes fonctionnalités, disons une newsletter, ce serait une bonne idée de faire de même ;
  • trouvez vos concurrents indirects, ceux qui résolvent le même problème que vous et analysez-les : souvenez-vous de l’exemple de RyanAir et Zoom ;
  • observez des sites qui vous plaisent : de nouvelles approches ou l’usage de supports différents peuvent surprendre agréablement vos utilisateurs.

Une fois que vous avez en main la liste complète des futures fonctionnalités spécifiques qui vous intéressent, il est temps de vous rapprocher d’un webdesigner.

3 – N’expliquez pas ce que vous attendez. Montrez-le

Absolument tous les webdesigners apprécient qu’on leur fournisse des références. Cela permet de voir les chartes graphiques qui vous plaisent (ou au moins, qui séduisent vos cibles).

Mais surtout, votre référence sera plus appréciée si vous expliquez à votre web-designer pourquoi elle vous plaît.

En fournissant des exemples – accompagnées de descriptions spécifiques dans votre briefing si possible -, l’équipe de créatifs en charge de votre projet web sera capable de créer l’interface web que vous désirez.

Mieux encore, ils pourront créer des logos, plaquettes, flyers et autres déclinaisons d’outils de communication qui refléteront votre identité. Votre personnalité.

Côté développement, définir le périmètre de vos fonctionnalités permet à votre webdesigner de vous recommander un cms type WordPress ou Shopify, ou un développement sur-mesure.

4 – Définissez le type de contenus qui vous intéresse

Laptop exécutant un logiciel de vidéo-montage avec tablette graphique

Qu’attendez-vous comme prototype ?

Des pages web remplies de textes ? Des illustrations ? Des templates prêts à l’emploi ?

Vous l’aurez compris, définir le type de contenus qui abondera sur votre futur service digital est une étape cruciale. Une étape trop souvent sautée par de nombreuses personnes en quête de gain de temps et d’argent.

Hélas, en sautant cette étape, vous perdrez presque tous les avantages des wireframes. Par conséquent, sans wireframe, votre équipe projet et vous n’êtes pas certain de comprendre les choses de la même façon.

Heureusement, créer un wireframe est excessivement simple.

Grâce à cette réflexion en amont, vous êtes certain que la gestion de votre projet sera plus simple. Toutes les parties auront le même niveau de compréhension. Développeurs et designers sauront exactement ce que vous attendez d’eux et comment cela doit être implémenté.

Par ailleurs, si vous avez fait appel à un web-designer, celui-ci saura s’il doit se faire aider par un rédacteur ou développeur expérimenté (particulière si vous voulez autre chose qu’un site vitrine responsive en HTML/CSS, ou un petit site d’e-commerce).

5 – Fournissez les éléments de votre charte graphique

La charte graphique est un document qui détaille les différents aspects de votre stratégie de communication digitale et physique. À l’intérieur, figurent vos codes couleurs, les différentes versions de votre logo, les polices typographiques autorisées et tout un ensemble de règles.

Grâce à elle, vous aurez une identité visuelle unique et facilement reconnaissable par votre cible. Si peu importe où vous êtes, vous arrivez à reconnaître des produits Coca-Cola ou Mcdonald’s, c’est grâce à ce document.

Plus tôt vous serez fixé sur ce que vous attendez, plus vous aurez de chances d’obtenir un résultat satisfaisant.

Lorsque les éléments de votre charte graphique sont fournis en retard, vos concepteurs web devront prendre davantage de temps pour les modifier. Typographie, couleurs primaires, secondaires, mise en page… absolument tout sera revisité.

Naturellement, le calendrier de votre projet s’en trouvera rallongé.

6 – Lisez les lignes écrites en tout petit dans les conditions de vos polices

D’emblée, sachez que certaines polices peuvent ne pas fonctionner sur certains sites web.

Pour contourner ce problème, les polices populaires ont généralement leurs propres versions web, gratuites jusqu’à un certain trafic.

Raison pour laquelle demandez toujours à l’agence ou au webdesigner freelance avec qui vous travailler de vérifier cela pour vous.

Vous ne voudriez pas être facturé pour avoir utilisé une police, n’est-ce pas ?

7 – Testez toujours votre maquette

Homme avec casque VR accompagné d'une femme avec un stylo

Si votre webmaster travaille selon les cérémonies agiles, alors vous recevrez très rapidement une maquette fonctionnelle de votre application.

Mais attention : ce n’est pas parce qu’elle fonctionne chez vous qu’elle fonctionnera chez tous vos prospects.

Peut-être vous souviendrez-vous d’Internet Explorer 9, qui était réputé pour avoir des normes incompatibles avec la plupart des navigateurs. Par conséquent, certaines animations ne fonctionnaient tout simplement pas sur ce navigateur.

Si vous ne voulez pas perdre une partie de votre audience à cause de problèmes d’incompatibilité, vous avez une seule solution : mener des tests utilisateurs et faire des retours à votre webdesigner.

Mais vous pouvez aller encore plus loin. Pourquoi ne pas contacter nos experts pour discuter de votre projet digital ? Écrivez-nous. Cela ne vous engage à rien et nous vous répondrons rapidement.

Pourquoi faire des tests utilisateurs (3 raisons)

Vous avez passé de longues heures à concevoir les interfaces de votre site web ou de votre application mobile.

À vos yeux, votre interface est parfaitement compréhensible et ergonomique. Mais êtes-vous certain que vos utilisateurs cibles seront du même avis que vous ?

La navigation sur votre site sera-t-elle fluide pour chaque utilisateur ? Votre application répondra-t-elle aux attentes des utilisateurs ?

Vous n’avez qu’un seul moyen de le savoir : mener des tests utilisateurs sur un véritable panel d’utilisateurs dans des conditions réelles.

Sceptique ? Voici 3 raisons pour lesquelles vous devez impérativement effectuer des tests utilisateurs sur vos applications.

1. Économisez (beaucoup) de temps et d’argent

L’User Expérience ou expérience utilisateur, est cruciale pour l’adoption de votre application par les utilisateurs.

Mal conçue, elle ne permettra pas à vos cibles de réaliser les scénarios que vous avez prévus pour eux. Autant dire que votre chiffre d’affaires et/ou votre productivité -s’il s’agit d’une application métier- seront négativement impactés.

Commencer à tester tôt votre application – voire son prototype – vous permettra de détecter les problèmes d’ergonomie rapidement.

L’institut National des Standards et de la technologie (NIST) a mené une étude sur les coûts de résolution des bugs en fonction des moments où ils sont découverts. Et les résultats sont plutôt effrayants.

Couts de résolution d'un bug en fonction du moment de sa détection

Ainsi, améliorer l’ergonomie des interfaces est moins coûteux lorsque votre site web est encore au stade de maquette. En quelques coups de crayon, votre web designer corrigera les problèmes d’ergonomie.

Par contre, si votre application est déjà en production ou pire déployée, vos développeurs devront y consacrer plusieurs heures. Vous devrez même envisager une refonte graphique totale de votre produit digital.

Pour vous donner une idée, si votre équipe projet découvre un bug durant la phase de conception, il peut vous coûter 100€ à corriger. C’est arbitraire, mais soit.

Si vous ou votre product owner ne le découvrez qu’au moment des contrôles qualité/assurance, son coût sera de 1500 €. Pire encore, si vous ne le découvrez qu’en phase de production, il vous coûtera la somme astronomique de 10 000 €.

Mais ce n’est pas la pire chose qui puisse vous arriver.

Si vous ne découvrez pas un bug, vous n’aurez que vos yeux pour pleurer lorsqu’une faille de sécurité avalera votre CA annuel.

C’est ce qu’à découvert la firme Knight Capital Group’s en 2012. Elle a perdu 440 millions de dollars en une seule journée à cause de l’oubli de vérification d’une mise à jour sur un seul de ses serveurs.

2. Éviter les surprises de régression

Téléphone avec un message d'erreur

Imaginez qu’après avoir testé une démo de votre application lors d’une cérémonie agile, vous décidiez d’ajouter une nouvelle fonctionnalité.

Vous faites appel à une agence ou à un freelance pour l’implémenter et là, horreur : votre application est assaillie de bug.

Impossible de l’utiliser sans qu’un problème ne se manifeste.

Votre application est alors atteinte d’une régression.

Ces surprises désagréables surviennent lors de l’ajout d’une nouvelle fonctionnalité ou lors de la correction d’un bug. Sans aucune raison apparente, des modifications apportées au code informatique rendent une fonction non-modifiée instable.

C’est un problème classique du développement web. Les fonctions partageant certains modules, si l’un d’entre eux est altéré, c’est toute votre application qui est en danger.

Heureusement, elles sont faciles à corriger lorsqu’elles sont vite repérées.

Raison pour laquelle, chez Poyesis, nous effectuons régulièrement des tests de régression sur l’intégralité de nos produits avant leur lancement.

3. Assurer que votre produit digital soit compatible avec tous les supports, os et autres

Système d’exploitation, marque du périphérique, navigateur, taille et orientation de l’écran… les paramètres dont dépendent l’expérience utilisateur de vos futurs usagers sont nombreux.

En plus des problèmes d’ergonomie, votre application court le risque d’être victime de problèmes de compatibilité.

Chez Poyesis, nous avons mis sur pied un protocole de test rigoureux afin de vous éviter de tels problèmes.

Ainsi, nous testons systématiquement toutes les applications que nous produisons, ce qui vous garantit que la vôtre est ergonome.

De l’écran de smartphone de 3.5 pouces à celui d’un moniteur de 24 pouces, nous menons des tests d’utilisabilité sur toutes les résolutions.

Même son de cloche sur les navigateurs et les systèmes d’exploitation.

Ainsi, nous sommes certains que vous ne rencontrerez aucune surprise le jour J.

Souhaitez-vous être certain que votre future application ou logiciel sera irréprochable en termes d’UI/UX ? Contactez-nous pour discuter de votre projet digital.

Les 5 cérémonies agiles expliquées simplement

Imaginez un instant que vous souhaitiez développer un nouveau logiciel métier pour accroître votre compétitivité (et votre CA).

Après avoir longtemps hésité entre une agence ou un freelance, vous jetez votre dévolu sur une agence de développement web.

Vous expliquez méthodiquement vos attentes au chef de projet. Une fois que vous êtes d’accord, il vous promet de vous livrer votre logiciel dans quelques mois.

Seulement, le jour J, vous tombez des nues : le logiciel ne correspond pas du tout à ce que vous attendiez.

Et pour cause, votre marché a évolué. Vos besoins et vos utilisateurs aussi. Pire encore, certaines de vos attentes n’ont pas été prises en compte comme vous le vouliez.

Entre votre taux de stress qui va bondir, les frais nécessaires pour réajuster le logiciel et les retards, vous êtes en colère.

Et on vous comprend.

Raison pour laquelle nous vous proposons une solution pour éviter de vous retrouver dans cette situation : les cérémonies agiles.

Qu’est-ce qu’une cérémonie agile et pourquoi votre agence web devrait en tenir ?

Si vous trouvez ce scénario surréaliste, ce n’est pas le cas : c’était même la norme jusque dans le début des années 2000.

Sans surprise, le taux d’échec des développements logiciels était affreusement élevé. Selon le rapport « Standish Group Chaos Report » sorti en 2000, 83% des développements de logiciels étaient des échecs (en 2015, ce chiffre était descendu à 71%).

La cause majeure de ce désastre n’était pas le manque de compétences. Loin de là.

Mais plutôt le manque d’implication des utilisateurs dans les processus de développement logiciel, excepté à la fin du projet. Mieux encore, dans les causes de réussites des projets, l’implication des utilisateurs est classée comme cause numéro 1.

Face à ce triste constat, un nouveau type méthodologie de gestion de projet a vu le jour : les méthodologies agiles.

En choisissant une agence qui utilise une méthode agile (ou un framework agile) -Kanban, scrum, etc.-, vous recevrez rapidement un produit fonctionnel. Ensuite, à chaque cycle de développement ou sprint (1 sprint = 1 semaine chez Poyesis), votre produit bénéficiera d’une nouvelle fonctionnalité ou itération.

Au fil des itérations successives et de vos retours sur les démos, votre logiciel prendra forme. Cette façon de créer les logiciels en misant sur une amélioration continue tranche radicalement avec le développement en silo.

Pour être certain que votre gestion de projet agile se déroule sans encombre, les équipes agiles tiennent 5 réunions par sprint (dont deux nécessitant votre présence) :

  • le planning du sprint ;
  • la revue du backlog ;
  • le stand-up quotidien :
  • la démo (aussi appelée revue) ;
  • la rétrospective de sprint.

Voyons-les tout de suite.

Les 4+1 cérémonies agiles

Pour expliquer les différentes cérémonies agiles, nous prendrons le cas d’une équipe agile constituée de 4 membres :

  • un product owner (le chef de projet) ;
  • une squad (l’équipe de développeurs en charge de votre projet)
  • un scrum master ou coach/facilitateur ;
  • un client (vous).

Voyons maintenant les différentes cérémonies agiles.

1. Le planning du Sprint

Se déroulant généralement en début de sprint, cette réunion sert à définir les 2 composants clés du sprint : l’objectif à atteindre et les tâches à effectuer.

Qui participe à cette réunion ?

  • le product owner,
  • la squad,
  • le scrum Master.

Quand a-t-elle lieu : en début de sprint (le vendredi chez Poyesis).

Comment se déroule-t-elle ?

  • l’objectif du sprint est annoncé, soit par vous, soit par le Product Owner ;
  • la squad et le scrum master définissent les tâches à effectuer pour atteindre l’objectif ;
  • la squad détermine les éléments du backlog à inclure dans le sprint pour atteindre votre objectif ;
  • le product owner effectue une priorisation de chaque élément du backlog proposé par la squad;
  • la squad transforme chaque élément du backlog en une liste de tâches précises.

À la fin de cette réunion de maximum 2 heures, chaque membre de l’équipe projet – y compris vous- sait exactement ce qu’il a à faire ou va recevoir.

2. Le Stand-up quotidien ou mêlée journalière

Ces réunions sont les plus courtes et les plus régulières de toutes les cérémonies agiles.

Qui participe à cette réunion ?

  • la squad ;
  • le scrum Master ;
  • le Product Owner (optionnel).

Comment se déroule-t-elle ?

Pendant maximum 15 minutes, les membres de l’équipe se tiennent debout (d’où le nom stand-up) et répondent à trois questions :

  • qu’ont-ils fait hier ?
  • que vont-ils faire aujourd’hui?
  • quels obstacles peuvent freiner leur progression ?

L’objectif de ces réunions étant de s’assurer que le workflow se déroule sans encombre.

3. La démo (ou revue)

À ce stade, les fonctionnalités prévues lors du planning ainsi que celles ajoutées lors de la revue du backlog sont déjà implémentées – du moins partiellement.

Et c’est là que vous entrez en jeu : sous la supervision du product owner, la squad vous montrera l’avancement de votre projet sous forme de livrables. À chaque livraison, vos feedbacks sont écoutés et utilisés pour peaufiner le prochain livrable jusqu’au produit final.

Naturellement, cette réunion n’a lieu qu’une seule fois par sprint, généralement à la fin. Elle dure environ 1 heure.

4. La rétrospective de Sprint

À la fin du sprint et après avoir reçu vos remarques, les membres de l’équipe projet se réunissent une dernière fois pour analyser le sprint qui vient d’être terminé.

Qui participe à cette réunion ?

  • la squad ;
  • le scrum Master ;
  • le Product Owner (optionnel).

Comment se déroule-t-elle ?

Chaque membre doit répondre à 3 questions :

  • qu’est-ce qui s’est bien passé durant le sprint ?
  • qu’est-ce qui ne s’est pas bien passé ?
  • que souhaite-t-il faire différemment la prochaine fois ?

À la fin de la cérémonie agile, l’équipe projet dispose d’une liste d’actions claires pour améliorer le prochain sprint.

Bonus : La revue du Backlog

Contrairement aux autres cérémonies, la revue du backlog, ou backlog refinement meeting – réunion de raffinage du backlog de produit en français -, n’est pas indispensable au management agile.

Mais pour nous, c’est un moment incontournable pour assurer la qualité des livrables que nous vous remettrons.

C’est le moment pour nous d’affiner et d’évaluer les éléments du backlog déjà définis et de détailler davantage les users stories (le contexte des fonctionnalités) si nécessaire. Elle a lieu en milieu de sprint.

Quand se déroule-t-elle : en milieu de sprint.

Qui participe à cette réunion ?

  • le product owner ;
  • la squad ;
  • le scrum master ;
  • les membres d’autres squads si nécessaires.

Comment se déroule-t-elle ?

Voici comment elle se déroule :

  • le product owner met en évidence les nouveaux éléments du backlog – dont vos nouvelles attentes – et les ordonne ;
  • les membres de l’équipe l’aident à décomposer les éléments importants en des éléments plus petits ;
  • toute la troupe estime le temps et les coûts nécessaires pour réaliser ces nouveaux éléments ;

En sortant de cette réunion, tous les membres de l’équipe de développement ont en tête une liste hiérarchisée, détaillée et priorisée des nouveaux éléments du backlog.

Le petit mot de la fin

En lisant cet article sur les cérémonies agiles (merci ☺), vous vous êtes peut-être dit que cela fait beaucoup de réunions. Surtout pour votre agenda déjà surchargé.

Nous en sommes conscients.

Ce pourquoi chez Poyesis, nous ne vous convions qu’à deux réunions agiles par sprint :

  • La réunion de planification des sprints, car qui mieux que vous sait ce que vous voulez ?
  • La démo : tous les jours ou tous les deux jours selon votre agenda, nous vous montrons l’avancée de votre projet de création d’application.

Si vous avez en tête de développer un site web, que diriez-vous d’en apprendre plus sur les deux options qui s’offrent à vous ? CMS ou développement custom, nous vous avons préparé un guide pour vous aider à choisir.